Remue-ménage dans l'univers du jouet. Aujourd'hui, lundi 18 décembre,  à quelques jours de Noël, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) publie une note sur son site intitulée :  Comment la DGCCRF s’assure de la sécurité des jouets...

Et de rappeler dans un note que durant l’année 2022 que « près de 2200 établissements et sites internet ont été contrôlés en 2022 par la DGCCRF et plus de 660 jouets ont été testés. Près d’un tiers des établissements contrôlés était en anomalie ». Ainsi, 17% des 674 jouets analysés en laboratoire en 2022 étaient non conformes et dangereux selon la DGCCRF. Inquiétant.

Quoi qu’il en soit, cette déclaration qui n’a pas manqué de faire réagir avec véhémence l’enseigne JouéClub : 

« Contrairement à ce qui est interprété dans les médias, plus de 17 % des jouets contrôlés en 2022 par ses services de la DGCCRF étaient non conformes et dangereux ne signifie pas qu'un jouet sur 5 est dangereux. Il se vend 250 millions de jouets en France, peut-on dire qu'un sur cinq est non conforme et dangereux ?Il y a plus de 200 000 références de jouets disponibles en France, peut-on dire qu'une sur cinq est non conforme et dangereuse ? Les contrôles de la DGCCRF sont ciblés, non représentatifs du marché du jouet.»